52) Néouvielle

L’absence d’une crête morainique bien conservée rend difficile la délimitation de la taille atteinte du glacier pendant Petit Âge Glaciaire, estimée à 16,5 ha, atteignant probablement une longueur maximale de 750 m, et contenant près de 14% de la glace du massif. Grosso modo, son développement a été inférieur de moitié à celui des glaciers voisins, 53) Maniportet, 54) Pays Baché et 55) Lac Tourrat.

Au début du 20ᵉ siècle, sa morphologie montrait déjà des signes de régression importante, et au début du dernier quart du 20ᵉ siècle, le glacier été très dégradé et considéré comme éteint en 1980.

Le vieux glacier du Néouvielle est l’un des plus fréquemment mentionnés dans les guides décrivant les itinéraires de haute montagne du massif. L’ascension de ses “vieilles neiges” était l’un des principaux attraits de l’ascension populaire, au XXe siècle, du Pic de Néouvielle par la voie normale.

Este aparato glaciar pertenece al siguiente macizo:

Galería de imágenes

La cumbre de Néouvièlle (1) y el emplazamiento de su antiguo AG (52). El Pico Ramougn (2) y su extinguido AG (51). El Helero de Maniportet (53) con las cumbres de Trois Conseillers (3) y Turón de Néouvièlle (4). El Helero de Lac Tourrat (55) en la vertiente norte del Pic Long (5). Pic Maubic (6) y Lac de Cap Long (10). (Jordi Camins – 2017).

La antigua ubicación del Glaciar de Néouvièlle (52) y la cumbre (1), que desde hace más de cuatro décadas ya no hace honor a su nombre “Nieve vieja”. Es visible también el antiguo emplazamiento en las imágenes 294, 296 y 297. (Jordi Camins – 2012).

Desde una posición semejante a la de la fotografía anterior, el último fragmento del Helero de Néouvièlle (superior), y neveros en 1976. (Autor no conocido).

Desde las proximidades de la cumbre, un muy deteriorado Helero de Néouvièlle, prácticamente en estado residual y muy próximo a su extinción, en 1976. (Autor no conocido).

En un enfoque parecido al de la imagen anterior, unos neveros en la ubicación del extinguido AG de Néouvièlle, que desaparecen antes del final de cada verano. (Jordi Camins – 2012).